Eminently political, all of Alice Diop's work is part of a continuity, the starting point of which could be Maurice Pialat's short film, L’amour existe (1960). As Nous makes its theatrical release, the filmmaker designs for the Centre Pompidou a form of a self-portrait in twelve sessions, which reveals and recounts the constellation that inspires and nourishes her. She presents her own films and invites artists whom she feels close to, in order to probe issues regarding cinema as it relates to her own representation of the French "banlieue" , in the continuity of the ideal Cinematheque of the "banlieues" of the world, which she initiated in 2020.
Éminemment politique, l’ensemble du travail d’Alice Diop s’inscrit dans une continuité, dont le point de départ pourrait être le court métrage de Maurice Pialat, L’amour existe (1960). Alors que Noussort en salle, la cinéaste dessine pour le Centre Pompidou une forme d’autoportrait en douze séances, qui révèle et raconte la constellation qui l’inspire et la nourrit. Elle y présente ses propres films, et invite des artistes dont elle se sent proche à interroger le cinéma à travers sa représentation de la banlieue française, dans la continuité de la Cinémathèque idéale des banlieues du monde, qu'elle a initiée en 2020.
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