International Day of the Girl Child
A Focus on Related Films by African Women
On December 19, 2011, the United Nations General Assembly adopted Resolution 66/170 to declare October 11 as the “International Day of the Girl Child”, to recognize girls’ rights and the unique challenges girls face around the world.
For its first observance, this year’s Day will focus on child marriage, which is a fundamental human rights violation and impacts all aspects of a girl’s life. Child marriage denies a girl of her childhood, disrupts her education, limits her opportunities, increases her risk to be a victim of violence and abuse, jeopardizes her health and therefore constitutes an obstacle to the achievement of nearly every Millennium Development Goal (MDG) and the development of healthy communities. (United Nations Declaration)
In the following days, the African Women in Cinema Blog will focus on films that highlight the experiences of girls in African societies.
Updated on 16 October 2020
[English]
The filmmakers' message of tolerance and universal humanism comes
through the children…child characters are represented as the hope for
the desirable gender relations. (Sr. Dr. Dominica Dipio)
[Français]
Dans une sélection de films récents ci-dessous, la petite fille joue le
rôle principal. Cette représentation cinématographique nous montre une
image forte et valorisante de la petite fille, lorsqu’elle confronte des
questions complexes concernant sa famille et le monde qui l’entoure : Mouna, 10 ans, qui fait face à la mort de sa mère, ne se sépare presque jamais de sa poupée Aisha ; Elikia, 5 ans, est atteinte d’albinisme que son voisinage considère comme un stéréotype ; Nadia, 5 ans, vit dans les bidonvilles de Casablanca où elle est entourée d'un mur qui la sépare du reste de la ville ; Godelive,
10 ans, vit dans un pensionnat catholique en Congo y recevant une
éducation occidentale. Mais le souvenir de sa grand-mère s’interpose ; Zeinab, qui a neuf ans, ne veux pas vivre au Canada parce qu’elle n’aime pas la neige; Aida, 8 ans, tente de soulager la souffrance de sa mère après que le père amène une seconde femme à la maison; Shula, qui a neuf ans, accusée de sorcellerie et mise dans un camp de sorcières, rêve de liberté. Aya, 7
ans, vit avec ses parents salafistes, Mariem et Youssef. Par peur
d'être banni par sa communauté salafiste, Youssef est contraint
d'imposer le port du Niqab à sa femme. Un jour, Aya commet un acte qui bouleversera à jamais le destin de sa famille. Casablanca, fin des années 70. Hiba,
âgée de 11 ans, est fascinée par le cinéma à un moment de l'histoire du
Maroc où ce lieu est encore fermé à la gente féminine. Malgré
l'interdiction de sa mère, elle est prête à revendre l'objet de son
autre passion, ses livres, pour y entrer. Amy, 11 ans, rencontre
un groupe de danseuses appelé : « Les Mignonnes ». Fascinée, elle
s’initie à une danse sensuelle, dans l’espoir d’intégrer leur bande et
de fuir un bouleversement familial.
Le message de tolérance et d'humanisme universel des cinéastes passe
par les enfants ... les personnages d'enfants sont représentés comme
l'espoir des relations de genre souhaitables. (Sr. Dr. Dominica Dipio)
Ashia by/de Françoise Ellong Cameroon |Cameroun)
A Place for Myself | Une place pour moi by/de Marie Clémentine Dusabejambo (Rwanda)
A Place for Myself | Une place pour moi by/de Marie Clémentine Dusabejambo (Rwanda)
Aya by/de Moufida Fedhila (Tunisia | Tunisie)
Behind the Wall | Derrière le mur by/de Karima Zoubir (Morocco | Maroc)
I am not a witch | Je ne suis pas une sorcière by/de Rungano Nyoni (Zambia | Zambie)
Behind the Wall | Derrière le mur by/de Karima Zoubir (Morocco | Maroc)
I am not a witch | Je ne suis pas une sorcière by/de Rungano Nyoni (Zambia | Zambie)
Les Mignonnes | Cuties by/de Maïmouna Doucouré (France-Senegal)
Maman(s) by/de Maïmouna Doucouré (France-Senegal)
Soeur Oyo | Sister Oyo by/de Monique Mbeka Phoba (Belgium-DRC)
Maman(s) by/de Maïmouna Doucouré (France-Senegal)
Soeur Oyo | Sister Oyo by/de Monique Mbeka Phoba (Belgium-DRC)