The day aims to highlight and address the needs and challenges girls face, while promoting girls' empowerment and the fulfillment of their human rights.
Cette Journée vise à mettre en lumière les besoins des filles et à répondre aux défis auxquels elles font face. Cette Journée promeut également l'autonomisation des filles et l'exercice de leurs droits fondamentaux.
The girl-child as main protagonist in a selection of recent films by African women
La petite fille comme protagoniste principale dans une sélection de films récents par les réalisatrices africaines
Source: African Women in Cinema Blog
Source: African Women in Cinema Blog
[English]
The filmmakers' message of tolerance and universal humanism comes
through the children…child characters are represented as the hope for
the desirable gender relations. (Sr. Dr. Dominica Dipio)
[Français]
Dans une sélection de films récents ci-dessous, la petite fille joue le
rôle principal. Cette représentation cinématographique nous montre une
image forte et valorisante de la petite fille, lorsqu’elle confronte des
questions complexes concernant sa famille et le monde qui l’entoure : Mouna, 10 ans, qui fait face à la mort de sa mère, ne se sépare presque jamais de sa poupée Aisha ; Elikia, 5 ans, est atteinte d’albinisme que son voisinage considère comme un stéréotype ; Nadia, 5 ans, vit dans les bidonvilles de Casablanca où elle est entourée d'un mur qui la sépare du reste de la ville ; Godelive,
10 ans, vit dans un pensionnat catholique en Congo y recevant une
éducation occidentale. Mais le souvenir de sa grand-mère s’interpose ; Zeinab, qui a neuf ans, ne veux pas vivre au Canada parce qu’elle n’aime pas la neige; Aida, 8 ans, tente de soulager la souffrance de sa mère après que le père amène une seconde femme à la maison; Shula, qui a neuf ans, accusée de sorcellerie et mise dans un camp de sorcières, rêve de liberté. Aya, 7
ans, vit avec ses parents salafistes, Mariem et Youssef. Par peur
d'être banni par sa communauté salafiste, Youssef est contraint
d'imposer le port du Niqab à sa femme. Un jour, Aya commet un acte qui bouleversera à jamais le destin de sa famille. Casablanca, fin des années 70. Hiba,
âgée de 11 ans, est fascinée par le cinéma à un moment de l'histoire du
Maroc où ce lieu est encore fermé à la gente féminine. Malgré
l'interdiction de sa mère, elle est prête à revendre l'objet de son
autre passion, ses livres, pour y entrer. Amy, 11 ans, rencontre
un groupe de danseuses appelé : « Les Mignonnes ». Fascinée, elle
s’initie à une danse sensuelle, dans l’espoir d’intégrer leur bande et
de fuir un bouleversement familial.
Le message de tolérance et d'humanisme universel des cinéastes passe
par les enfants ... les personnages d'enfants sont représentés comme
l'espoir des relations de genre souhaitables. (Sr. Dr. Dominica Dipio)
Ashia by/de Françoise Ellong Cameroon |Cameroun)
A Place for Myself | Une place pour moi by/de Marie Clémentine Dusabejambo (Rwanda)
A Place for Myself | Une place pour moi by/de Marie Clémentine Dusabejambo (Rwanda)
Aya by/de Moufida Fedhila (Tunisia | Tunisie)
Behind the Wall | Derrière le mur by/de Karima Zoubir (Morocco | Maroc)
I am not a witch | Je ne suis pas une sorcière by/de Rungano Nyoni (Zambia | Zambie)
Behind the Wall | Derrière le mur by/de Karima Zoubir (Morocco | Maroc)
I am not a witch | Je ne suis pas une sorcière by/de Rungano Nyoni (Zambia | Zambie)
Les Mignonnes | Cuties by/de Maïmouna Doucouré (France-Senegal)
Maman(s) by/de Maïmouna Doucouré (France-Senegal)
Soeur Oyo | Sister Oyo by/de Monique Mbeka Phoba (Belgium-DRC)
Maman(s) by/de Maïmouna Doucouré (France-Senegal)
Soeur Oyo | Sister Oyo by/de Monique Mbeka Phoba (Belgium-DRC)